Le cri de l’oie

de Benjamin de la Fuente (2008)

Théâtre musical D’après l’œuvre de Christophe Tarkos
Mise en scène Thierry Poquet, avec l’ensemble instrumental Ars Nova

DESCRIPTIF

Est un voyage au cœur de l’univers du poète Christophe Tarkos, avec ce qu’il comporte de lumière et d’obscurité, de tendresse et de trivialité, de déséquilibre et d’accident, parfois d’absurdité
est un corps qui s’agite et qui en rit est effrayé
essaie de décrire le monde, par morceaux, par fragments, comme nous l’appréhendons dans la réalité
est jubilation du regard, de la parole, du sonore et du mouvement
est un solo de danse, dans le silence un poème adressé à Tarkos
est un « théâtre composé », où la partition tisse les sonorités instrumentales à celles des mots du poète, où la diversité des origines et des pratiques artistiques des interprètes contribue à répandre cette légende qui prétend que, dans la tête d’un poète est contenu le monde.

La musique de ce spectacle est pensée comme une « caisse de résonance » de l’univers de Christophe Tarkos, de ses textes, de ses mots, du son des phonèmes. Elle est à l’image du phénomène bien connu du larsen prêt à envahir la totalité de l’espace.

DISTRIBUTION

Comédienne, soprano: Valérie Philippin
Comédien, basse: Michel Hermon
Comédien, baryton: François Mulard
Danseur: Andreas Müller
Et Ars Nova, ensemble instrumental
Trombones: Florent Didier et Jean-Michel Weber
Percussions: Isabelle Cornélis
Violon: Catherine Jacquet
Contrebasse: Tanguy Menez
Assistanat mise en scène: Didier Cousin
Conseils philosophiques: Claude Jupu
Direction musicale: Philippe Nahon
Informatique musicale et sonorisation: Nicolas Déflache
Conseils en sonorisation: Christophe Hauser
Chorégraphie des parties dansées: Rosalind Crisp
Scénographie: Oscar Lloveras
Assistanat scénographie: Arnaud Verley
Lumière: Guy Simard
Images projetées: Arnaud Marcaille et Thierry Poquet
Costumes: Alexandra Charles
Direction technique: François Chaussebourg
Régie générale: Jean-Louis Dardenne
Construction et régie plateau: Thibault Dubois
Régie lumière: Jérôme Deschamps